C’est dans un récital intimiste que Lilie Printemps nous propose de rendre un hommage vibrant à la Grande Dame Brune partie il y a déjà 25 années, mais son chant est toujours et à jamais dans nos cœurs entretenant l’écho de sa voix dans la mémoire collective.

De Göttingen à Précy-sur-Marne en passant par Bobino, Barbara restera une des plus belles histoires d’amour des amateurs de vraies et belles chansons françaises.

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La scénographie est tout aussi intimiste ornée de son rocking chair, sa lumière tamisée sur une vieille malle chargée de souvenirs de voyages, car « les voyages, c’est la vie qu’on fait, le destin qu’on refait… »

 

Sur de fidèles arrangements de piano et d’accordéon, on se balade en apportant une part de création et d’improvisation pianistique.

On découvre ou redécouvre la beauté des mélodies, toute la sensibilité qu’elles expriment, mais surtout certaines de ces chansons moins connues comme « Mon enfance », « Rémusat », « Le soleil noir », ou « Parce que...(je t’aime) ».

 

C’est donc sans être dans l’imitation, mais plutôt avec beaucoup de naturel dans la mise en scène que la Demoiselle Blonde qui chante la Longue Dame Brune nous emmène, à la fois pétillante, séductrice, entre coup de cœur et nostalgie, en tissant l’écrin de réalisme poétique et d’espièglerie pour que jamais le « ron-ron » ne s’installe.

 

Rappelle-toi, Barbara…

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Conception et mise en scène : Lilie Printemps & Michel Duvet

Chant : Lilie Printemps

Piano : Michel Duvet

Accordéon : Damien Ducelier

Régie son et lumière : Xavier Neau

Scénographie et costumes : Lilie Printemps & Michel Duvet

Costumière cape  Silvaine Laplace

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